HRHMessages : 28 Date d'inscription : 16/12/2017 Age : 30 Localisation : Panneau d'administration
Admin - Fondat' | Lun 3 Juin - 20:42 | Depuis la révélation de l'existence des sujets, les différents pays du monde ont forgé leurs opinions et leurs politiques à propos des Sujets. Vous pouvez cliquer sur les graphiques pour les afficher en grand. Royaume Uni Le Royaume Uni est le pays le plus ouvert (ou le moins fermé?) aux Sujets. Ils sont libres d'entrer et sortir comme ils le souhaitent, même s'il leur est demandé de se recenser. Le pays est en phase d'observation et d'ajustements, l'objectif premier étant de garantir la sécurité des deux parties.
Les opinions de la population ne sont pas encore tranchés même si on trouve des courants extrêmes des deux côtés de la balance. Le nombre de sujets augmente de semaines en semaines, ce qui a tendance à faire pression sur le gouvernement pour prendre des décisions.
Canada Le Canada est un pays plutôt bienveillant envers les Sujets. Après la découverte de leur existance, le gouvernement a pris quelques lois en leur faveur, leur maintenant notamment le statut d'êtres humains.
Les canadiens ne semblent pas hostiles à l'idée de l'existence des sujets, même si ceux-ci sont finalement peu nombreux dans le pays. De plus en plus d'immigrés arrivent des Etats-Unis où les conditions de vie sont plus drastiques.
Le nombre de Sujets canadiens est probablement sous-estimé, du fait que les tests ne soient pas obligatoires sur le sol Canadien ni pour passer la frontière. USA Les Etats-Unis ont une politique de plus en plus agressive envers les Sujets. D'abord plutôt neutre voire favorable à l'existence des Sujets, les US ont opéré un changement de cap lorsque le nombre de Sujets déclarés a commencé à augmenter de manière presque exponentielle.
Nous voici retournés presque à la ségrégation, avec une nouvelle population dans le viseur: les Sujets. Le droit de vote a été révoqué pour les êtres génétiquement modifiés. Si les OGM des assiettes ne dérangent pas l'Oncle Sam, il n'accepte pas d'être constitué de personnes d'une autre race. Asie Paradoxalement, l'Asie est très peu peuplée de Sujets. Les premières modifications avaient pourtant eu lieu en Chine et les chercheurs chinois semblaient déterminés à ne pas tenir compte du moratoire alors demandé par le reste de la communauté scientifique.
Les lois sont très répressives envers les Sujets alors que les asiatiques sont plutôt neutres à leur égard. Ils sont considérés là bas comme une nouvelle technologie comme une autre. On recense très peu de délation dans cette partie du monde, mais les sujets recensés ont une vie peu enviable.
Russie Les Russes ne sont pas des tendres avec les Sujets. A peine identifiés, ils disparaissent de la circulation. Déportés? Expulsés? Assassinés? Les méthodes de détection et de recensement ont été longues à développer mais sont désormais très au point. Certains puristes se fournissent auprès d'entreprises russes dans leurs démarches extrêmes.
La loi est clairement opposée aux Sujets, leur interdisant même de quitter le pays. Certaines ONG cherchent à remédier à la situation. Quelques ressortissants ont pu quitter le pays avant la mise en place du blocus. Si vous faites partie de ces chanceux, vous êtes recherché.
Union Européenne Choqués par les révélations et probablement inquiets des capacités des Sujets, les européens sont majoritairement hostiles à leur existence. On trouve pourtant peu de Sujets sur le sol Européen. Les lois de l'UE sont majoritairement neutres, les seules démarches entreprises contre eux les obligent notamment à se recenser et à contrôler leurs pouvoirs.
|
|